Las nubes, una vez más
Como siempre que adorno mi cuaderno con ellas, marcho siguiendo el vuelo libre y reposado de alguna nube. Quizá no lo haga al lugar más adecuado, pero al fin y al cabo lo que importa es soñarlas, y trazar su derrota sobre el fondo azul de las aguas celestes.
Hasta la vuelta.
Al fin y al cabo, todos estamos en la nube...
ResponderEliminarFelices vacaciones.
Querido Charles, que los vientos te sean propicios y no sufras encalmadas o tifones este verano, que encuentres los mejores abrigos y que tu tripulación tenga la mejor travesía. Nosotros nos quedaremos como Emma en su ventana:
ResponderEliminarMme Bovary avait ouvert sa fenêtre sur le jardin, et elle regardait les nuages.
Ils s’amoncelaient au couchant du côté de Rouen, et roulaient vite leurs volutes noires, d’où dépassaient par derrière les grandes lignes du soleil, comme les flèches d’or d’un trophée suspendu, tandis que le reste du ciel vide avait la blancheur d’une porcelaine. Mais une rafale de vent fit se courber les peupliers, et tout à coup la pluie tomba ; elle crépitait sur les feuilles vertes. Puis le soleil reparut, les poules chantèrent, des moineaux battaient des ailes dans les buissons humides, et les flaques d’eau sur le sable emportaient en s’écoulant les fleurs roses d’un acacia.
— Ah ! qu’il doit être loin déjà ! pensa-t-elle.